Un petit questionnaire comme je les aime.

ça y est je vais enfin y répondre à ce questionnaire !!!
alors,
Les 4 livres de mon enfance:
Yvain le chevalier au lion, 4 soeurs de Malika Ferdjoukh, les 4 fillesdu dr March de Louisa May Alcott, 20 000 lieues sous les mers de Jules Verne
les 4 auteurs de mon enfance: (oui j'adapte un peu !!)
Evelyne Brisou-Pellen Colette Vivier , Tolkien, Marcel Pagnol

Les 4 livres de mon adolescence:
Le portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde, Phèdre de Racine, Anna Karénine de Tolstoï, Aurélien d'Aragon
Les auteurs de mon adolescence:
Jane Austen, Aï Yazawa, Christie, Jasper Fforde (avec son monde où les livres sont plus réels & vivants qu'ici..à lire pour comprendre!!)

les livres à lire:
la suite de la trilogie de l'Héritage, le cercle d'or de Guillaume Prévost, 1984 d'Orwell, la suite du Grimoire au rubis (cycle 3) de Béatrice Bottet), la suite de Tara Duncan de Sophie-Audouin Mamikokian.

Les 4 auteurs à lire et relire encore:
Oscar Wilde, Rimbaud, Pennac, Celia Rees

l'auteur que je ne lirai jamais plus:
Dino Buzzati à cause du chien qui a vu Dieu 

Les 4 livres/auteurs que j'emporterai sur une île déserte:
Robinson Crusoë de Daniel Defoe, toute l'œuvre de Pennac, Wilde et Rimbaud

évidemment, j'en oublie plein....

Yvain, le chevalier au lion ! Que de souvenirs ! Ce livre je l'ai lu au collège, en français, un vrai régal ^^

Yvain, le chevalier au lion ! Que de souvenirs ! Ce livre je l'ai lu au collège, en français, une pure horreur ! Si j'avais un autodafé à faire, je crois qu'il y passerait !
J'ai du mettre une éternité pour lire chaque page, comprenant une seconde de plus que l'histoire avait un de ces rythmes d'une lenteur insoutenable sans compter les dix milles mots moyenâgeux rendant le texte incompréhensible ... Que de temps perdu à tourner ces pages =S
Et de là à fuir Buzzati ...

Enfin bref, je ne m'aventurais pas dans cette obscurs que sont les livres que peuvent lire les autres ... (valable pour la musique et tout le reste lol)

Yvain, le chevalier au lion.;
heu j'ai pas trop accroché
sans plus

Mais Buzzati j'aime
il faut que tu lises le K Yasmina
petites nouvelles toutes différentes les unes des autres

Jasper Fforde: j'ai adoré très original
surtout le premier
elle s'enlise dans le troisième un peu quand elle est coincé dans un livre non publié


Jane Austen j'aime mon côté fille ça


Jules Verne
j'adore je les ai dévorés au coin de la cheminée dans une vieille, très vieille collection,
lue par plusieurs générations
Hummm ils sentaient vraiment bon ces livres
(heu oui je sais je sens les livres avant de les lire..un peu comme un mets délicieux que l'on sent avant de se régaler)

et pour finir Rimbaud
rien à dire

Ce qui m'a marqué aussi dans Yvain, le chevalier au lion, c'est l'odeur des pages. Je ne me souviens pas envoir retrouvé cette odeur particulière dans un des (nombreux) livres que j'ai lu ! ^^

Ahh toi aussi
tu sens les livres avant de les lire

Pas particulièrement mais celui-ci m'a marqué. L'odeur de l'encre est particulière je trouve. Vous avez ça sur le votre aussi ?

heu?! non, pas moi
une odeur normale de livre neuf !!
peut-etre la collection ou l'odeur du fauve

Peut-être, qui sait ? =D

Je n’arrive pas à faire un choix aussi formel entre les livres de mon enfance, de mon adolescence (j’ai encore les 2 pieds dedans) et les auteurs ad hoc. Aussi pour répondre en partie au questionnaire je vous présente les 10 livres qui m’ont le plus influencé et qui impactent encore ma vision du monde et des humains. Je les présente dans l’ordre chronologique de leur découverte. Ils ont fait ce que je suis…



Toute la collection du « Club des 5 » d’Enid Blyton. J’étais vraiment petit, je crois que mes premières lectures remontent vers 5/6 ans. J’avoue que je lisais déjà en grande section maternelle. Il n’y a pas de miracle, cela vient de ma mère fan de lecture. Elle enregistre des ouvrages en CD pour les aveugles et les malvoyants et tout petit elle me faisait lire

« Le petit prince » d’Antoine de Saint-Exupéry. En CP ce fut pour moi le livre de la découverte des rêves. Un choc soutenu par la beauté magique des dessins. Je me souviens avoir fait de nombreuses peintures de ses dessins pour décorer ma chambre. J’ai encore au mur une de mes peintures

« Les misérables » de Victor Hugo. En CE2, un jour de curiosité dans la bibliothèque familiale j’ai ouvert le premier tome (ma mère à une vieille version en 3 tomes reliés cuir). A l’époque je lisais lentement, j’ai mis presque un mois pour les 3 tomes. Je lisais dans mon lit à voix haute. J’avais l’impression que prononcer les mots me permettait de mieux voir les personnages et vivre les scènes. Bien entendu j’ai pleuré en chantant les derniers vers de Gavroche

« La peste » d’Albert Camus. J’ai déjà expliqué le choc que me procura ce livre lorsque j’étais à l’hôpital. Ma grand-mère (cette fée) avait oublié (quoique je me suis toujours demandé si c’était vraiment involontaire) ce livre près de mon lit. J’ai plongé dans l’univers blanc d’Oran, frémi avec le docteur Rieux sous l’invasion des rats, tremblé à la découverte de cette maladie et souffert avec le fils du juge Othon….

« L’alchimiste » de Paulo Coelho. Une œuvre d’une beauté infini. En une histoire limpide toute la philosophie de l’humanité. Si touts les auteurs que j’aime m’ont donné le gout et l’appétence de lire, Paulo Coelho m’a transmis le virus de l’écriture. Un style de grande pureté (proche du petit prince), de simplicité lumineuse. Si une baguette magique me le permettait j’aspirerai à écrire de cette simplicité sublime

« L’abolition » de Robert Badinter. J’avais 9 ans quand la fureur et la folie des hommes m’ont heurté de plein de fouet. J’en ai déjà parlé plusieurs fois dans mes articles je n’y reviendrai pas, sauf à dire que je béni mes parents m’avoir fait naître après l’abolition. Je me serai senti si sale auparavant

« La disparition » de Georges Perec. Un roman extraordinaire, pas d’autre mot car il est véritablement extraordinaire. Ma grand-mère me l’amène à l’hôpital et me dit « ça c’est un livre magique, tu me diras si tu aimes ». Elle à dit magique alors je me précipite dedans j’allais sur mes 10 ans. De suite l’intrigue truffée d’aventure et le style très étrange me capte. Je n’arrive plus à m’en détacher. Je n’ai compris que vers la fin. Un livre de 319 pages sans une seule fois la lettre « E ». D’où le titre La disparition. Cet homme que j’ai aimé depuis à part ailleurs écrit le plus grand palindrome. Un palindrome est un mot ou une suite de mots, voire de phrase qui peuvent se lire de droite à gauche comme de gauche à droite ex : “Tu l’as ici, salut“, ou encore “Oh, cela te perd répéta l’écho“.


« Le pèlerinage aux sources » de Giuseppe Giovanni Luigi Enrico Lanza di Trabia-Branciforte, dit Joseph Lanza del Vasto. J’avais 10 ans l’âge ou l’âme aspire à se montrer grandiose. Lanza m’a ouvert la porte à l’humain et du sens de la vie. Je ne puis en parler avec raison car il résonne en moi en chaque instant….


« L’écume des jours » de Boris Vian à égalité avec « L’automne à Pékin » de Boris Vian l’auteur qui m’aida à me détourner du conforme et du bien-pensant dont je garde en souvenir cette phrase décrivant une action de son héros dans ‘ l’automne à Pékin’ « il sortait du couloir à reculons en donnant l’impression qu’il y entrait … » donnant corps avant l’heure au moonwalk de Michael Jackson

« En lisant en écrivant » de Julien Gracq : somptueuse, lumineuse description de l’harmonie entre la lecture et l’écriture, des réflexions de grandes cultures. Un livre rare d’un auteur au charisme discret mais d’une influence considérable sur la sociologie, philosophie et la psychologie moderne


Bien entendu j’en ai beaucoup d’autres en tête mais ceux-là me reviennent souvent




Ci-dessous un palindrome de 1247 mots de Georges Pérec, sachant qu’il en a écrit un autre de plus de 5000 mots

________________________________________
Trace l'inégal palindrome. Neige. Bagatelle, dira Hercule. Le brut repentir, cet écrit né Perec. L'arc lu pèse trop, lis à vice-versa.
Perte. Cerise d'une vérité banale, le Malstrom, Alep, mort édulcoré, crêpe porté de ce désir brisé d'un iota. Livre si aboli, tes sacres ont éreinté, cor cruel, nos albatros. Etre las, autel bâti, miette vice-versa du jeu que fit, nacré, médical, le sélénite relaps, ellipsoïdal.
Ivre il bat, la turbine bat, l'isolé me ravale: le verre si obéi du Pernod -- eh, port su ! -- obsédante sonate teintée d'ivresse.
Ce rêve se mit -- peste ! -- à blaguer. Beh ! L'art sec n'a si peu qu'algèbre s'élabore de l'or évalué. Idiome étiré, hésite, bâtard replié, l'os nu. Si, à la gêne sècrete-- verbe nul à l'instar de cinq occis--, rets amincis, drailles inégales, il, avatar espacé, caresse ce noir Belzebuth, ô il offensé, tire !
L'écho fit (à désert): Salut, sang, robe et été.
Fièvres.
Adam, rauque; il écrit: Abrupt ogre, eh, cercueil, l'avenir tu, effilé, genial à la rue (murmure sud eu ne tire vaseline séparée; l'épeire gelée rode: Hep, mortel ?) lia ta balafre native.
Litige. Regagner (et ne m'...).
Ressac. Il frémit, se sape, na ! Eh, cavale! Timide, il nia ce sursaut.
Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla:
Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze !
Le cèdre, malabar faible, Arsinoë le macule, mante ivre, glauque, pis, l'air atone (sic). Art sournois: si, médicinale, l'autre glace (Melba ?) l'un ? N'alertai ni pollen (retêter: gercé, repu, denté...) ni tobacco.
Tu, désir, brio rimé, eh, prolixe nécrophore, tu ferres l'avenir velu, ocre, cromant-né ?
Rage, l'ara. Veuglaire. Sedan, tes elzévirs t'obsèdent. Romain ? Exact. Et Nemrod selle ses Samson !
Et nier téocalli ?
Cave canem (car ce nu trop minois -- rembuscade d'éruptives à babil -- admonesta, fil accru, Têtebleu ! qu'Ariane évitât net.
Attention, ébénier factice, ressorti du réel. Ci-git. Alpaga, gnôme, le héros se lamente, trompé, chocolat: ce laid totem, ord, nil aplati, rituel biscornu; ce sacré bédeau (quel bât ce Jésus!). Palace piégé, Torpédo drue si à fellah tôt ne peut ni le Big à ruer bezef.
L'eugéniste en rut consuma d'art son épi d'éolienne ici rot (eh... rut ?). Toi, d'idem gin, élèvera, élu, bifocal, l'ithos et notre pathos à la hauteur de sec salamalec ?
Élucider. Ion éclaté: Elle ? Tenu. Etna but (item mal famé), degré vide, julep: macédoine d'axiomes, sac semé d'École, véniel, ah, le verbe enivré (ne sucer ni arreter, eh ça jamais !) lu n'abolira le hasard ?
Nu, ottoman à écho, l'art su, oh, tara zéro, belle Deborah, ô, sacre ! Pute, vertubleu, qualité si vertu à la part tarifé (décalitres ?) et nul n'a lu trop s'il séria de ce basilic Iseut.
Il à prié bonzes, Samaritain, Tora, vilains monstres (idolâtre DNA en sus) rêvés, évaporés:
Arbalète (bètes) en noce du Tell ivre-mort, émeri tu: O, trapu à elfe, il lie l'os, il lia jérémiade lucide. Petard! Rate ta reinette, bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur !
Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire: Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire. . .
Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana: l'Oubli, fétiche en argile.
Foudre.
Prix: Ile de la Gorgone en roc, et, ô, Licorne écartelée,
Sirène, rumb à bannir à ma (Red n'osa) niére de mimosa:
Paysage d'Ourcq ocre sous ive d'écale;
Volcan. Roc: tarot célé du Père.
Livres.
Silène bavard, replié sur sa nullité (nu à je) belge: ipséité banale. L' (eh, ça !) hydromel à ri, psaltérion. Errée Lorelei...
Fi ! Marmelade déviré d'Aladine. D'or, Noël: crèche (l'an ici taverne gelée dès bol...) à santon givré, fi !, culé de l'âne vairon.
Lapalisse élu, gnoses sans orgueil (écru, sale, sec). Saluts: angiome. T'es si crâneur !
. . .
Rue. Narcisse ! Témoignas-tu ! l'ascèse, là, sur ce lieu gros, nasses ongulées...
S'il a pal, noria vénale de Lucifer, vignot nasal (obsédée, le genre vaticinal), eh, Cercle, on rode, nid à la dérive, Dèdale (M. . . !) ramifié ?
Le rôle erre, noir, et la spirale mord, y hache l'élan abêti: Espiègle (béjaune) Till: un as rusé.
Il perdra. Va bene.
Lis, servile repu d'électorat, cornac, Lovelace. De visu, oser ?
Coq cru, ô, Degas, y'a pas, ô mime, de rein à sonder: à marin nabab, murène risée.
Le trace en roc, ilote cornéen.
O, grog, ale d'elixir perdu, ô, feligrane! Eh, cité, fil bu !
ô ! l'anamnèse, lai d'arsenic, arrérage tué, pénétra ce sel-base de Vexin. Eh, pèlerin à (Je: devin inédit) urbanité radicale (elle s'en ira...), stérile, dodu.
Espaces (été biné ? gnaule ?) verts.
Nomade, il rue, ocelot. Idiot-sic rafistolé: canon ! Leur cruel gibet te niera, têtard raté, pédicule d'aimé rejailli.
Soleil lie, fléau, partout ire (Métro, Mer, Ville...) tu déconnes. Été: bètel à brasero. Pavese versus Neandertal ! O, diserts noms ni à Livarot ni à Tir ! Amassez.
N'obéir.
Pali, tu es ici: lis abécédaires, lis portulan: l'un te sert-il ? à ce défi rattrapa l'autre ? Vise-t-il auquel but rêvé tu perças ?
Oh, arobe d'ellébore, Zarathoustra! L'ohcéan à mot (Toundra ? Sahel ?) à ri: Lob à nul si à ma jachère, terrain récusé, nervi, née brève l'haleine véloce de mes casse-moix à (Déni, ô !) décampé.
Lu, je diverge de ma flamme titubante: une telle (étal, ce noir édicule cela mal) ascèse drue tua, ha, l'As.
Oh, taper ! Tontes ! Oh, tillac, ô, fibule à reve l'Énigme (d'idiot tu) rhétoricienne.
Il, Oedipe, Nostradamus nocturne et, si né Guelfe, zébreur à Gibelin tué (pentothal ?), le faiseur d'ode protège.
Ipéca...: lapsus.
Eject à bleu qu'aède berça sec. Un roc si bleu ! Tir. ital.: palindrome tôt dialectal. Oc ? Oh, cep mort et né, mal essoré, hélé. Mon gag aplati gicle. Érudit rossérecit, ça freine, benoit, net.
Ta tentative en air auquel bète, turc, califat se (nom d'Ali-Baba !) sévit, pure de -- d'ac ? -- submersion importune, crac, menace, vacilla, co-étreinte...
Nos masses, elles dorment ? Etc... Axé ni à mort-né des bots. Rivez ! Les Etna de Serial-Guevara l'égarent. N'amorcer coulevrine.
Valser. Refuter.
Oh, porc en exil (Orphée), miroir brisé du toc cabotin et né du Perec: Regret éternel. L'opiniâtre. L'annu- lable.
Mec, Alger tua l'élan ici démission. Ru ostracisé, notarial, si peu qu'Alger, Viet-Nam (élu caméléon !), Israël, Biafra, bal à merde: celez, apôtre Luc à Jéruzalem, ah ce boxon! On à écopé, ha, le maximum
Escale d'os, pare le rang inutile. Métromane ici gamelle, tu perdras. Ah, tu as rusé! Cain! Lied imité la vache (à ne pas estimer) (flic assermenté, rengagé) régit.
Il évita, nerf à la bataille trompé.
Hé, dorée, l'Égérie pelée rape, sénile, sa vérité nue du sérum: rumeur à la laine, gel, if, feutrine, val, lieu-créche, ergot, pur, Bâtir ce lieu qu'Armada serve: if étété, éborgnas-tu l'astre sédatif ?
Oh, célérités ! Nef ! Folie ! Oh, tubez ! Le brio ne cessera, ce cap sera ta valise; l'âge: ni sel-liard (sic) ni master-(sic)-coq, ni cédrats, ni la lune brève. Tercé, sénégalais, un soleil perdra ta bétise héritée (Moi-Dieu, la vérole!)
Déroba le serbe glauque, pis, ancestral, hébreu (Galba et Septime-Sévère). Cesser, vidé et nié. Tetanos. Etna dès boustrophédon répudié. Boiser. Révèle l'avare mélo, s'il t'a béni, brutal tablier vil. Adios. Pilles, pale rétine, le sel, l'acide mercanti. Feu que Judas rêve, civette imitable, tu as alerté, sort à blason, leur croc. Et nier et n'oser. Casse-t-il, ô, baiser vil ? à toi, nu désir brisé, décédé, trope percé, roc lu. Détrompe la. Morts: l'Ame, l'Élan abêti, revenu. Désire ce trépas rêvé: Ci va ! S'il porte, sépulcral, ce repentir, cet écrit ne perturbe le lucre: Haridelle, ta gabegie ne mord ni la plage ni l'écart.

Georges Perec,
La clôture et autre poèmes, Hachette/Collection P.O.L., 1980.

Les quatre livres de votre enfance :

- Le Petit Prince de Saint Exupéry que je relis très souvent
- Les chair de poule et cœur grenadine
- Rose Madder de Stephen King que j'ai relu et racheté plusieurs fois.
- Tous les livres au presque de la Comtesse de Ségur.

Les quatre livres de mon adolescence :

- Les fleurs du mal de Baudelaire parce que je suis en admiration devant ses œuvres.
- Destruction d'un cœur, Amok, La confusion des sentiments, Lettre d'une inconnue et le jeu dangereux de Stefan Zweig. (Je sais c'est beaucoup de titre mais je les ai tous lu à la suite et ce sont plus des nouvelles!) J'adore Zweig et sa façon de parler des sentiments humains.
- Hell et Bubble Gum de Lolita Pille. J'adore le style direct et un peu cru de Lolita Pille et je relis régulièrement ces deux premiers romans dont beaucoup de passage me touchent.
- Le Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde. Parce que cet homme me fascine, j'aurais rêvé le rencontrer, j'ai une sorte de haine/amour envers lui. Il ne me jamais indifférente.

Les quatre écrivains que je lirai et relirai encore :

- Baudelaire
- Oscar Wild
- Stefan Zweig
- Voltaire

Les quatre auteurs que je n'achèterai ou n'emprunterai plus :

- Zola (trop lu et je n'ai jamais été fan)
- Proust (je n'apprécie vraiment pas et ce n'est pas faute d'avoir essayé)
- Camus (l'étranger est un roman que j'adore mais sinon...)


Les quatre livres que j'emporterais sur une île déserte:

- L'intégral de Baudelaire parce que je ne m'en lasse jamais
- Antigone version Anouilh pour le superbe face à face Créon/Antigone
- Zadig de Voltaire s'il ne faut choisir qu'une seule de ses œuvres.
- Le Horla de Maupassant parce que c'est peut être ce qui m'attend

Les quatre premiers livres de ma liste "à lire" :

- L'herbe bleue (depuis le temps...)
- Mes illusions donnent sur la cour de Sacha Sperling
- Millénium de Stieg Larsson parce que j'en ai beaucoup entendue parler
- Quelques œuvres de Shakespeare

Les 4*4 derniers mots d'un de mes livres préférés :

" Je continuerai à sortir, à taper, à boire et à persécuter de cons. Jusqu'à ce que j'en crève. L'humanité souffre. Et je souffre avec elle. "

alors d'abord voyons Sébastien...

« Le petit prince »
« Les misérables »
« La peste »
« L’alchimiste »

toi et moi on a du avoir accès à la même bibliothèque enfant....
j'aime comment tu parles des livres, avec quelle délectation tu te les remémores
dans ton plaisir à les lire je retrouve le mien.



Shiva


Le Petit Prince de Saint Exupéry
Tous les livres au presque de la Comtesse de Ségur (qu'est-ce que j'ai pu pleurer moi avec cette cruelle Sophie qui découpait ses gentils poissons, et adorer le général Dourakine, François le bossu, Camille et Madeleine soeurs admirables et Gisèle.....)
Quand je les ai lu j'étais très petite mais vraiment petite
et j'avais la varicelle. mon arrière grand-mère me préparait des cuillères de miel et de citron ..
c'est un de mes meilleurs souvenirs....


et Le Horla de Maupassant dans les deux versions vraiment troublant, un livre qui m'a tenu éveillé

Bonjour à tous,
Ce questionnaire va me servir de présentation!


Les quatre livres de votre enfance :

-Les "J'aime lire"
-Les "Chair de Poule"
-"Jane Eyre" de Charlotte Bronte
-Les Contes de Grimm, de Perrault ect...

Les quatre livres de mon adolescence :

-"Autant en emporte le vent" de Margaret Mitchell : l'un de mes livres cultes!
-"Jane Eyre" : le retour ! je l'ai lu dans sa version intégrale!
- "Les Fleurs du Mal" de Baudelaire m'ont beaucoup marqué...
-"Entretien avec un vampire" d'Anne Rice : un régal!!!
ect...


Les quatre écrivains que je lirai et relirai encore :

- Mary Higgins-Clark
- Lindsay Chase
-Charles de Baudelaire
-William Shakespeare

Les quatre auteurs que je n'achèterai ou n'emprunterai plus :

- J'ai un peu de mal avec le style de James Ellroy ( "le dahlia noir", "L.A Confidentiel" ect...) ou les écrits de J-Jacques Rousseau...


Les quatre livres que j'emporterais sur une île déserte:

-"Autant en emporte le vent"
-"Jane Eyre"
-La saga "Angélique" d'Anne Golon : plus intéressante que les films selon moi !
-les polars d'Higgins-Clark

- Les quatre premiers livres de ma liste "à lire" :
Ouh là là là là !!! y'en a le paquet!!!

1.Le tome 4 d'"Angélique"
2."Antéchrista" d'Amélie Nothomb
3. "Dracula" de Bram Stocker
4. "Ambre" de Kathleen Windsor
Tous les Anne Rice, Mary Higgins-Clark, Oscar Wilde, Stefan Zweig, Shakespeare, relire "Le torrent des jours" de Lindsay Chase, le tome 1 de "La communauté du Sud" de Charlaine Harris qui a inspiré la série "True Blood", la suite de "La Bicyclette Bleue" de Régine Deforges, "L'Attrape-Coeur", tenter 'Journal d'un vampire" et "Twilight", les romans de Juliette Benzoni, ceux de Kathleen Woodiwiss et de Muriel Carmel, un peu de poésie : faut que je teste Emily Dickinson ! ect...ect...ect...
J'aimerai être immortelle pour découvrir les oeuvres futures, peut-être plus belles qu celles que j'aurais pu lire, ou voir de mon vivant...!

Les 4*4 derniers mots d'un de mes livres préférés :

" Je penserai à celà demain, à Tara.Pour le moment, je n'en ai pas le courage. Demain, je chercherai un moyen de ramener Rhett.En somme, à un jour près... " (je pense que c'est assez facile ! lol).

Alors bienvenue Coralie !!!!!!!!
tous les auteurs que tu as choisi sont britanniques...(la majorité en tout cas, puisque ce n'est pas le cas de Baudelaire) pas étonnant pour une amoureuse de l'Irlande !!
tu es quelqu'un de romantique, non ?
Oscar Wilde est sur ta liste de ceux à lire...sur la mienne aussi !! ^^ même si je m'y suis mis avec "Le portrait de Dorian Gray"...