Noyade interdite !
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Noyade interdite !
Non, il ne faut pas noyer sa noirceur
dans l'infinie dépendance de tout
ne jamais, ô grand jamais, avoir besoin des autres
principe numéro un, seul principe, sans principe
L'obscurité régnant, chaque jour t'emplit
tu te caches sous ta couette, sous ton lit
tu te sens en sécurité à ne pas bouger ainsi
or cela n'empêchera jamais la peur de persister
En toi même est le chemin de la passion
l'infini création dans la recherche de soi
tenir, coute que coute, ne pleure pas
cultive le fruit à l'intérieur de toi
Cesse de regarder ces personnes, ces vidéos
écrans d'une infinie beauté trop enviée
arrête de contempler tout à travers une vitre
séparés par des litres d'air, finir comme ombre
Tu dis que tu ne fais rien de bien, que tu es laid
mais ne serait-ce pas un ultime mobile pour l'oisiveté
complaisance dans le désespoir que l'on peut conter
tu préfères rester seul, dans un travail abrutissant
Viens nous parler, ris avec nous, trouve nous
développe tes pensées, remplis les blanches feuilles
trouve que soi même on génère une partie de son malheur
tous sur le même bateau on se voit placé, tu sais
L'issue n'est pas si loin, mais l'on demeure seul
seul à la trouver, seul à se libérer de l'ennui
à trouver une activité satisfaisante et un sens à la vie,
tirer un plaisir infini de l'intersidéral vide
Jouir du malheur, c'est se sentir mieux quand on en sort.
dans l'infinie dépendance de tout
ne jamais, ô grand jamais, avoir besoin des autres
principe numéro un, seul principe, sans principe
L'obscurité régnant, chaque jour t'emplit
tu te caches sous ta couette, sous ton lit
tu te sens en sécurité à ne pas bouger ainsi
or cela n'empêchera jamais la peur de persister
En toi même est le chemin de la passion
l'infini création dans la recherche de soi
tenir, coute que coute, ne pleure pas
cultive le fruit à l'intérieur de toi
Cesse de regarder ces personnes, ces vidéos
écrans d'une infinie beauté trop enviée
arrête de contempler tout à travers une vitre
séparés par des litres d'air, finir comme ombre
Tu dis que tu ne fais rien de bien, que tu es laid
mais ne serait-ce pas un ultime mobile pour l'oisiveté
complaisance dans le désespoir que l'on peut conter
tu préfères rester seul, dans un travail abrutissant
Viens nous parler, ris avec nous, trouve nous
développe tes pensées, remplis les blanches feuilles
trouve que soi même on génère une partie de son malheur
tous sur le même bateau on se voit placé, tu sais
L'issue n'est pas si loin, mais l'on demeure seul
seul à la trouver, seul à se libérer de l'ennui
à trouver une activité satisfaisante et un sens à la vie,
tirer un plaisir infini de l'intersidéral vide
Jouir du malheur, c'est se sentir mieux quand on en sort.
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