je me hais
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je me hais
J’allume ma télé et je vois que Mickael Vendetta a gagnée « la ferme célébrité » je me dis que l’on est tombé bien bas. Mais dans le fond je m’en fous, je le connais pas ce mec et je ne regarde pas la ferme. Le mal aise ce soir ne vient pas de là. Si seulement mon seul problème était la télé réalité et la couleur de mon vernie.
Mais que suis-je censée faire lorsque mon blond m’annonce qu’il va mal ? Je devrais être là, le prendre dans mes bras, le consoler, le caresser, l’apaiser, lui chuchoter des mots doux, lui répéter que je suis avec lui et l’aider à faire face. Mais je ne peux pas ! L’approcher, le toucher, je ne peux même pas entendre sa voix. Pourrais-je le revoir un jour ? Pourrons-nous rester l’un et l’autre calme et impassible ? La tempête, la passion et le tourbillon qui nous emportent loin de toute raison se calmeront-il un jour ? En attendant je suis loin, très loin, trop loin. En attendant mon cœur se sert de le savoir malheureux et ses mots d’amour n’en sont que plus douloureux. Tout serait tellement plus simple s’il me détestait. Je voudrais qu’il m’insulte, me bouscule, me crache à la figure, qu’il trouve le bonheur, l’amour et qu’il me le jette en pleine face ! Je voudrais en souffrir et finir par me relever ou bien en mourir.
A la télé l’euro millions et aucun gagnant c’est triste. Mais en fait ce soir je m’en fou.
Je voudrais ne penser qu’à l’argent, aux vêtements, aux bijoux.
Mais que suis-je censée faire quand j’apprends que mon double, ma moitié est en dépression, qu’il souffre plus que je ne le pensais et que personne n’osait m’en informer ? Je devrais être près de lui, nous nous allongerions tous les deux dans son vieux lit si petit, je lui caresserais les cheveux, je lui parlerai de tout et de rien, je lui ouvrirai mon âme, il me regarderait dans les yeux et nous n’aurions plus besoin de mot. Il ne serait ni dépressif, ni isolé, ni loin de moi. Ca serait lui et moi, deux personnes et un être à part entière. Mais je suis là, loin de lui depuis 4 ans, un être vide déraciné, une jeune femme abandonné qui souffre de voir l’homme de son cœur, la rejeter et s’enfermer dans une douleur qu’elle ne connait que trop bien. » Prozac », » laroxil », » lexomil », « stilnox » je ne veux pas de ça pour lui avant le choix été entre « le coup », « l’épaule », « la bouche » ou « le ventre ». Cette époque me manque, il me manque. Mais qu’ais-je fais ? Mon Dieu est-ce une punition pour le crime que j’ai commis ? Torturez moi, prenez mon corps, mon âme, tuez moi encore et encore mais laissez ceux que j’aime loin de tout ça. Mes pêchés, mes crimes ces hommes ni sont pour rien.
Sans eux je ne serais rien, sans eux je ne serais pas, sans eux je ne serais plus là du tout.
Devoir vivre loin d’eux et les savoir malheureux me révolte, me déchire et finira par m’achever.
Voici à présent « confession intimes » je m’en fous aussi. Mes confessions je suis prêtes à les faire à genoux mais plus personne n’est là…
Mais que suis-je censée faire lorsque l’on m’accuse du malheur de ceux que j’aime, lorsqu’un jeune homme de 16 ans se moque de moi et qu’un inconnu s’amuse à ma faire souffrir depuis 6 ans ?
De tous les côtés les rumeurs je les entends et j’en ris mais qu’est ce que j'ai fais pour qu’une personne se fasse passer pendant des années pour ma meilleure amie alors que dans mon dos elle sème des horreurs sur moi attendant qu’elles éclosent, espérant que les épines me poignardent le cœur.
Comment aider ceux que j’aime ? Comment oublier ceux que j’aime ? Comment savoir ce qui ne va pas ? Comment ne pas perdre la tête ? Comment supporter le retour des nouvelles douloureuses alors qu’à peine debout je titube à nouveau ?
Et j’aurais tant de choses pathétiques à ajouter, une sorte de liste qui n’aurait pas de fin, mais j’ai les mains qui tremblent et les yeux qui piquent, ma solitude m'explose à la figure et les morceaux défigurent ce visage que je hais qui prend enfin la forme qu’il devrait pour que tous voient et comprennent le monstre que je suis, la bête qui n’a plus la force de vivre et qui va s’arrêter net pour peut être ne plus revenir.
Mais que suis-je censée faire lorsque mon blond m’annonce qu’il va mal ? Je devrais être là, le prendre dans mes bras, le consoler, le caresser, l’apaiser, lui chuchoter des mots doux, lui répéter que je suis avec lui et l’aider à faire face. Mais je ne peux pas ! L’approcher, le toucher, je ne peux même pas entendre sa voix. Pourrais-je le revoir un jour ? Pourrons-nous rester l’un et l’autre calme et impassible ? La tempête, la passion et le tourbillon qui nous emportent loin de toute raison se calmeront-il un jour ? En attendant je suis loin, très loin, trop loin. En attendant mon cœur se sert de le savoir malheureux et ses mots d’amour n’en sont que plus douloureux. Tout serait tellement plus simple s’il me détestait. Je voudrais qu’il m’insulte, me bouscule, me crache à la figure, qu’il trouve le bonheur, l’amour et qu’il me le jette en pleine face ! Je voudrais en souffrir et finir par me relever ou bien en mourir.
A la télé l’euro millions et aucun gagnant c’est triste. Mais en fait ce soir je m’en fou.
Je voudrais ne penser qu’à l’argent, aux vêtements, aux bijoux.
Mais que suis-je censée faire quand j’apprends que mon double, ma moitié est en dépression, qu’il souffre plus que je ne le pensais et que personne n’osait m’en informer ? Je devrais être près de lui, nous nous allongerions tous les deux dans son vieux lit si petit, je lui caresserais les cheveux, je lui parlerai de tout et de rien, je lui ouvrirai mon âme, il me regarderait dans les yeux et nous n’aurions plus besoin de mot. Il ne serait ni dépressif, ni isolé, ni loin de moi. Ca serait lui et moi, deux personnes et un être à part entière. Mais je suis là, loin de lui depuis 4 ans, un être vide déraciné, une jeune femme abandonné qui souffre de voir l’homme de son cœur, la rejeter et s’enfermer dans une douleur qu’elle ne connait que trop bien. » Prozac », » laroxil », » lexomil », « stilnox » je ne veux pas de ça pour lui avant le choix été entre « le coup », « l’épaule », « la bouche » ou « le ventre ». Cette époque me manque, il me manque. Mais qu’ais-je fais ? Mon Dieu est-ce une punition pour le crime que j’ai commis ? Torturez moi, prenez mon corps, mon âme, tuez moi encore et encore mais laissez ceux que j’aime loin de tout ça. Mes pêchés, mes crimes ces hommes ni sont pour rien.
Sans eux je ne serais rien, sans eux je ne serais pas, sans eux je ne serais plus là du tout.
Devoir vivre loin d’eux et les savoir malheureux me révolte, me déchire et finira par m’achever.
Voici à présent « confession intimes » je m’en fous aussi. Mes confessions je suis prêtes à les faire à genoux mais plus personne n’est là…
Mais que suis-je censée faire lorsque l’on m’accuse du malheur de ceux que j’aime, lorsqu’un jeune homme de 16 ans se moque de moi et qu’un inconnu s’amuse à ma faire souffrir depuis 6 ans ?
De tous les côtés les rumeurs je les entends et j’en ris mais qu’est ce que j'ai fais pour qu’une personne se fasse passer pendant des années pour ma meilleure amie alors que dans mon dos elle sème des horreurs sur moi attendant qu’elles éclosent, espérant que les épines me poignardent le cœur.
Comment aider ceux que j’aime ? Comment oublier ceux que j’aime ? Comment savoir ce qui ne va pas ? Comment ne pas perdre la tête ? Comment supporter le retour des nouvelles douloureuses alors qu’à peine debout je titube à nouveau ?
Et j’aurais tant de choses pathétiques à ajouter, une sorte de liste qui n’aurait pas de fin, mais j’ai les mains qui tremblent et les yeux qui piquent, ma solitude m'explose à la figure et les morceaux défigurent ce visage que je hais qui prend enfin la forme qu’il devrait pour que tous voient et comprennent le monstre que je suis, la bête qui n’a plus la force de vivre et qui va s’arrêter net pour peut être ne plus revenir.
Dernière édition par shivalee le Mer 1 Sep - 14:30, édité 3 fois
Re: je me hais
HAFSSA!!!!
chacun est maître de son destion, ce n'est pas parce-que tu as (peut-être) commis des erreurs, que les autres en sont punis.
Oui tu peux les aider, tu pourrais. Mais si cela te fait souffrir de les approcher, tu peux encore agir de loin leur envoyer une personne qui saurait les réconforter.
Moi je suis là et je sais bien des choses sur toi.
Je ne t'abandonnerai pas, je ne te trahirais pas.
chacun est maître de son destion, ce n'est pas parce-que tu as (peut-être) commis des erreurs, que les autres en sont punis.
Oui tu peux les aider, tu pourrais. Mais si cela te fait souffrir de les approcher, tu peux encore agir de loin leur envoyer une personne qui saurait les réconforter.
Moi je suis là et je sais bien des choses sur toi.
Je ne t'abandonnerai pas, je ne te trahirais pas.
Re: je me hais
je suis responsable de tellement d'horreurs Mina, je suis coupable de tellement de chose et dans le fond j'ai beau aimer les gens je ne leur apporte rien de positif. Je suis épuisée Mina épuisée
Re: je me hais
je sais que dormir ne te suffit pas, je voudrais savoir ce qui te reposerait et te le procurer...
Ma chère Hafssa.
Ce qui est fait est fait, hélàs. Maintenant tu ne peux plus qu'essayer de vivre avec... L'oubli est-il nécessaire? Si l'oubli n'est pas l'oubli total mais partiel, celui qui permet d'oublier la culpabilité, le poids du remords, alors oui.
Ma Hafssa, tes horreurs commises ne peuvent en aucun cas être la cause des mlaheurs de ceux que tu aimes.
Ma chère Hafssa.
Ce qui est fait est fait, hélàs. Maintenant tu ne peux plus qu'essayer de vivre avec... L'oubli est-il nécessaire? Si l'oubli n'est pas l'oubli total mais partiel, celui qui permet d'oublier la culpabilité, le poids du remords, alors oui.
Ma Hafssa, tes horreurs commises ne peuvent en aucun cas être la cause des mlaheurs de ceux que tu aimes.
Re: je me hais
non non tiens bon !!
je veux que tu t'accroches. Je fais quoi sans toi ? on fait quoi sans toi ?
allez, accroche-toi, courage !!
je veux que tu t'accroches. Je fais quoi sans toi ? on fait quoi sans toi ?
allez, accroche-toi, courage !!
Re: je me hais
La vie serait pareil sans moi! Ma Mina qu'est ce que ça changera? Soyons honnête. Rien
Re: je me hais
non ma belle je t'assure que tu donnes une couleur à la mienne, faite de plein de petits bouts et de tas de couleurs, mais si tu en enlèves une ça change tout, imagine un tableau dont on enléverait le violet par exemple, il aurait quelque chose d'étrange de bancal de différent.
sans toi ce serait beaucoup trop différent.. Les deux larmes d'hier soir à la lecture de ton avant-dernier sms ne sont-elles pas bien assez éloquentes ?
sans toi ce serait beaucoup trop différent.. Les deux larmes d'hier soir à la lecture de ton avant-dernier sms ne sont-elles pas bien assez éloquentes ?
Re: je me hais
Non Ma Mina ne pleure pas! Surtout pas pour ou à cause de moi.
Tu as raison, je pense que notre tableau se forme peu a peu et qu'il est beau et inachevé et que tous ensemble nous allons faire une œuvre d'art!
Je suis là! Je suis bien debout aujourd'hui! Et même si je vacille et tremble je sais que j'ai des mains pour me retenir en cas de chute!
Merci à tous! Je vous aime!
Tu as raison, je pense que notre tableau se forme peu a peu et qu'il est beau et inachevé et que tous ensemble nous allons faire une œuvre d'art!
Je suis là! Je suis bien debout aujourd'hui! Et même si je vacille et tremble je sais que j'ai des mains pour me retenir en cas de chute!
Merci à tous! Je vous aime!
Re: je me hais
elles sont grandes ouvertes pour te retenir mes mains en plus j'ai des longs doigts (un peu tordus..) tu peux t'y accrocher tant que tu veux !! ^^
tu sais j'ai facilement la larme à l'oeil... une colère, une déception, un chagrin...
tu sais j'ai facilement la larme à l'oeil... une colère, une déception, un chagrin...
Dernière édition par Marguerite Orignal le Mer 1 Sep - 16:40, édité 1 fois
Re: je me hais
ne t'en veux pas tu es humaine ! Et puis on apprend de ses erreurs non ? Reste à définir ce qu'est une erreur, bien sûr...
Re: je me hais
des conneries!!! voilà une erreur !! Bon plus sérieusement j'en débattrais pas ce soir!!
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